30 Septembre 2014
Je n'aime pas le sentiment de fatalité qui m'étreint lorsque j'entends une grande partie de la classe politique s'exprimer: La crise, la mondialisation, le chômage, la baisse de niveau des étudiants, la dette publique, le réchauffement climatique... On ne peut rien y faire? Nous sommes le jouet d'une machine qui s'est emballé et nous domine, nous écrase, nous punit? Serions-nous devenus impuissants?
Il me semble que tout est fait -évidemment on m'a accusé par le passé d'être paranoïaque; aujourd'hui, mes discours d'hier paraissent malheureusement fondés- pour nous rendre apathiques, désespérés, apeurés. L'éducation, la culture, les loisirs, la gestion du travail, l'organisation des services publics, la politique extérieure menée, nous ont conduits à la peur, l'ignorance et l'affaiblissement. De multiples exemples dans les post à venir. Avec aussi les conséquences sociales et les outils pour contrecarrer un phénomène destructeur d'intelligence et de courage.